La photographie de paysage

La photographie de paysage est un genre de photographie artistique pratiqué pratiquement depuis qu’existe la photographie

Histoire de la photographie de paysage

La première photographie de ce genre fût produite par Niepce en 1826 et depuis ce genre de photos ne cesse de se développer héritant de la culture de la peinture.

Le paysage est une invention picturale crée par Flandres dès le XV ième siècle. Par la suite les peintures de paysages seront développées par les peintres hollandais et flamands jusqu’au XVII ième siècle. Les impressionnistes aussi ont peint de nombreux paysages. Donc quand Niepce prend depuis sa fenêtre des paysages, les sens de la précision, de l’esthétisme, du cadrage étaient déjà intégrés grâce à ces auteurs de peintures qui représentaient plutôt des paysages de campagne verdoyants, vallonnés ,avec quelques maisons parfois.

Avec Vermeer, la peinture intégrait déjà les notions de perspectives linéaires construites d’un point de vue déterminé que l’on retrouvera ensuite dans les premières photographies de paysage de Daguerre qui était à l’origine lui-même un peintre. Grâce à la grande précision des appareils photographiques utilisés, les paysages étaient parfaitement reproduits dans les moindres détails.

Ainsi les peintres de Barbizon qui exploraient et faisaient une sorte d’inventaire de la région de Fontainebleau, ce qui aboutira à la création d’une réserve naturelle plus tard, demandèrent aux photographes de leur fournir des prises de vue afin de compléter leur propre travail.

L’évolution jusqu’aujourd’hui.

A partir de 1896, les progrès techniques des appareils photographiques permettent la réalisation et la diffusion des premières cartes postales qui connaîtront par la suite un essor important et que l’on utilise encore aujourd’hui.

Les vastes paysages naturels ou bien les paysages urbains, ou encore les édifices architecturaux tels les monuments historiques ou bien les ponts ou autre tours modernes sont toujours des modèles pour les photographies artistiques certaines appréciées comme des œuvres d’art tant elles sont exceptionnelles c’est à dire pratiquement non améliorables et uniques.